jeudi 18 avril 2013

virus mortel



Une idée me vient, je ne sais pas où la noter alors je viens ici. L'histoire est un peu banale, notre monde est victime d'une pandémie sans conséquence...

Voici les premiers mots qui me viennent

JOUR 1:
Bélinda tentait tant bien que mal de se rougir les ongles. Je la regardais déborder, bâcler le travaille. Elle était complètement faite, incapable de la moindre précision. D'un geste irrité, je lui pris son flacon coagulé et l'enfonçais au fond de mon sac. À la place, j'en sortis une bouteille de dissolvant et un morceau de coton.
« Hé ! s'offusqua-t-elle ? Qu'est-ce que tu fais ?
—Je répare les dégâts ! Laisse-toi faire ! »
Consciencieusement, je nettoyai ses ongles peinturlurés, puis je sortis mon propre verni. Un à un, je rougis ses ongles avec patience. 
« Merci, me dit-elle d'une voix pâteuse. Dans mon état, je ne sais pas ce que ça aurait donné.
—Une oeuvre de Picasso » me moquai-je.
Bélinda partit dans un grand éclat de rire contagieux. Je l'accompagnai de bon cœur avant de retourner à ma tâche. 
« Où sont les gars ? demanda-t-elle.
—Parti se promener dans la forêt. Ils veulent mettre à l'épreuve leur courage.
—Hein ? »
Je levai le regard sur mon amie. D'ordinaire, elle était si pointilleuse sur la grammaire, certains l'avaient même surnommée la SS de la grammaire... Étrange comme l'alcool pouvait changer une personne.  
« Il y a une légende qui dit que le bois est hanté, lui répondis-je tout de même. Ils sont allés chasser les fantômes.
—Sérieux ? Il y a des fantômes ici ? »
Pourquoi ce ton si paniqué ? Elle, la première de sa classe en section scientifique devrait savoir que ce ne sont que des légendes ! L’alcool ? Peut-être... toujours !
« Non, la rassurai-je, ce ne sont que des histoires ! »
Ce que je ne savais pas à ce moment-là était que les gars avaient bien trouvé quelque chose. Pas un fantôme, non, ça, c'est pour faire peur aux boys scouts, mais autre chose qui allait transformer ma vie, changer le monde. 


Donc voilà pas de fantôme, pas de monde parallèle (pour une fois :D), mais une histoire de virus. Pas de mort vivant, juste une hécatombe écrit à la première personne qui se déroulerait sur 30 jours soit 30 chapitres. Alors ça vous plaît ? (Attention une non-réponse équivaudra à un « non », alors dites tout de suite ce que vous en pensez.)

2 commentaires:

  1. *bave d'impatience* (tout en essayant de ne pas tacher le carrelage)
    Traduction : OUI !!! C'est quand que tu le commences ??
    (désolée pour mon enthousiasme ^^)

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    1. dès que j'ai corrigé mes deux nouvelles et finis le premier jet de mon challenge ;)

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La chambre