vendredi 31 mai 2013

La hiérarchie nobiliaire française


Les titres de noblesse, ce que signifie ces nominations pompeuses, qui est au-dessus de qui, qui doit allégeance à qui? Pour moi, pauvre roturière il s'agit d'un vrai casse tête? Alors autant en faire une fiche!

Déjà il faut savoir que chaque régime a ses propres termes. Vous ne trouverez pas les mêmes hiérarchies en France, qu'en Russie ou au Maroc, ou encore au Royaume-Uni. Alors je me concentrerai sur la France, autant commencer par chez nous ;)

La hiérarchie en elle-même n'est apparue qu'au XVIème siècle. Avant il y avait le Roi et ses vassaux (bon ça devait être un peu plus compliqué que ça, mais on va faire simple, déjà que c'est pas facile ^^ ) 

Donc tout en haut, au sommet il y a le Roi, élu de Dieu. Il ne rend des comptes qu'à Dieu (et donc au Pape et encore). A sa mort, son premier né ayant un service trois pièce entre les jambes (la loi salique si proche de sadique, c'est dire) prend la relève. Avant son sacre il sera nommé le Dauphin. Si malheureusement, il n'y a pas de Dauphin, on va chercher un frère du roi, ou au pire un neveu. (Je pense que jusque là tout le monde est d'accord). La Reine a un rôle d'ambassadrice. Elle doit rendre des comptes au Roi, se doit de lui donner une descendance masculine et d'être parfaite à tout égard. Elle est admirée, adulée... certains diront une vraie potiche. Oui mais pas que. Attention, beaucoup de Jeanne ont montré à quel point elles étaient fortes (mais ça c'était avant l'Ancien Régime, le Moyen-Age quoi. ) et bâties pour gouverner. 
Mais par la suite, nos belles souveraines ne purent démontrer leurs talents qu'à travers leurs maris ou fils. D'ailleurs quand ce dernier était trop jeune pour gouverner, la Reine devenait Régente, c'est à dire que c'était à elle de diriger le royaume. 
Deux grands noms me viennent spontanément: Marie de Médicis et Anne d'Autriche (oui les fameux bijoux de la Reine et d'Artagnan...)

Mais je m'égare, revenons à notre hiérarchie durant l'Ancien Régime.

En dessous du Roi, il y a les princes de sang. C'est-à-dire les successeurs potentiels, donc ceux dont le Roi doit se méfier s'il ne veut pas finir avec un couteau dans le dos.

-Les Ducs: Leur rang élevé est surement dû à la puissance des duchés durant le Moyen-Age sur lesquels le duc régnait en gouverneur. Il était indépendant du Roi tout en lui devant des comptes (une sorte d'Etats fédéraux si j'ai bien compris mais je peux me tromper).
Bon en fait je n'ai rien compris au ducs, seulement qu'il y a des sous catégorie, des duc avec duché donc le titre est héréditaire, les duché-pairie qui siègent au parlement, et les duché non pairie, qui ne siègent pas au Parlement et les ducs a brevet d'honneur: on leur a donné le titre de duc mais ce n'est pas héréditaire parce que le titre est itinérant à l'individu et non au territoire. Ah ba oui, je n'ai pas précisé, ce n'est pas l'homme qui est titré, mais sa terre!

-Les Marquis: En fait dans l'Ancien Régime le titre a pratiquement disparu. Au Moyen-Age il désignait un commandement militaire frontalier, mais à la fin du XVIIème siècle il fut surtout attribué aux maîtresse de nos chers souverain volages. Qui ne connaît pas la marquise de Maintenon que je le fouette? (bon ce n'est pas la plus connu mais comme je viens de Maintenon ^^ )

-Les Comtes: savez-vous qu'il s'agit du titre le plus vieux d'Europe? (oui en grec ou latin je sais plus, roi désigné un usurpateur, un souverain qui n'avait pas hérédité du titre contrairement au tyran cf: Oedipe-Roi de Sophocle ou La Machine Infernale de Cocteau )
il s'agissait en fait de nominé les amis proches du souverain. Bizarre, moi quand on me disait comte, je pensais à un comté et à fortiori à la Comté... mais je m'égare encore une fois.
Un comté faisait parti généralement d'un duché, donc le comte pouvait être vassal d'un duc.
En fait dans ma tête, je me représente un comte comme un gros bonhomme à la cour du Roi. Très caricaturale je vous le conçoit, mais bon, on ne me refera pas :P
Bon il va sans dire qu'entend que proche de la famille royale, un comte/comtesse était autant les conseillers que les confidents (autant que cela soit possible) des souverains.

-Les Vicomtes: j'apprends juste à l'instant que ma ville actuelle Châtellerault est un vicomté qui fut érigé en duché-pairie avant d'être confisqué...
Bref, soit un officier de judicature du duc ou du comte, pour le gouvernement d'une ville ou d'une province (chefs-lieux d'un pagus) secondaire, ou pour l'administration de la justice. (wikipédia)
Je n'ai rien d'autre à ajouter ^^

- Les Barons: Alors là.... bon et bien un baron serait un personnage de la haute aristocratie qui ne serait ni duc, ni comte, ni vicomte. Je suis précise hein ;)
Un baron était à l'origine l'homme du roi. Cette qualification s'appliqua d'abord aux grands vassaux du roi, mais peu à peu le titre perdit de son importance et à partir du XVIe siècle, le baron ne fut plus que le seigneur d'une baronnie, terre groupant plusieurs fiefs. Une baronnie est composée d'au moins 3 châtellenies. (Lexique de la noblesse)
Voilà, ça c'est mieux dit ^^

-Les Chevaliers: c'est le titre qui fait rêver tout le monde. Mon preux chevalier, le fier et droit chevalier qui défend la veuve et l'orphelin, qui s'éprend de sa dame et lui jure fidélité. Le chevalier sans peur, fidèle à son roi, sa dame et son cœur. Un chevalier sans peur dans son armure rutilante.
Mais comment devenir chevalier? D'abord tout le monde n'y avait pas le droit. Un long apprentissage attendait tout jeune homme qui se lancerait dans ce dur apprentissage. Dès ses 7 ans il se mettra au service d'un chevalier et commencera par nettoyer les écuries, pour un jour devenir écuyer.
Est-il nécessaire de préciser que seule la noblesse avait la chance d'accéder à l'adoubement?
Bon l'âge d'or des chevalier se situe au Moyen-Age.
Pour L'Ancien Régime, je n'ai pas trouvé grand chose, mea culpa. Il semblerait que le terme avait perdu de son importance. Un chevalier ne fut alors qu'un gentilhomme, militaire, au service d'un roi ou d'une reine. J'essaierai de trouver plus sur le sujet.

Voilà, bon après il y a les grades dans l'armée, les titres religieux mais il va me falloir du temps pour tout faire.

Je tiens à rappeler que j'ai pu me tromper, mélanger ou oublier. Je me suis référée à des sites (plusieurs pas que wiki) mais ça n'évite pas les bourdes :D 

Les Gens: masculin ou féminin?



Voilà avec un de mes bêta-lecteurs je n'étais pas d'accord sur le genre du mot "les gens".
Je vous livre ici ce que j'ai découvert après quelques recherches:

*Vous serez tous d'accord avec moi (enfin j'espère) "gens" écrit ainsi s'utilise qu'au pluriel, mais qu'en est-il des adjectifs qui lui sont rattachés?
—Accompagné d’un adjectif, celui-ci se met au féminin s’il le précède, et au masculin s’il le suit.
ex: De vieilles gens/ De grandes gens.
Des gens trop vieux/ Des gens pas très grands
—Lorsque le mot est précédé d’un adjectif des deux genres, on met tous au masculin
ex: Tous les braves gens
—Quand au contraire l’adjectif qui précède gens est féminin, on met toutes.
ex: Toutes les belles gens
—On met aussi tous au masculin lorsque gens est suivi d’une épithète ou de quelque autre mot déterminatif.
ex: Tous les gens ici présent/ tous les gens malintentionnés
—Se met toujours au masculin lorsqu’il est sujet.
ex: les gens sont heureux/ Les belles gens sont désirés et adulés
—Ne se dit jamais en parlant d’un nombre déterminé de personnes, à moins qu’il ne soit précédé de certains adjectifs, comme dans ces exemples:
ex:Il y vint trois pauvres gens.
Nous étions dix honnêtes gens.
Ces quatre frères étaient quatre braves gens.
D'autre cas particuliers:
-l'expression "jeunes gens" est toujours au masculin: "de beaux jeunes gens", ainsi que les "gens de robe", "gens de guerre", "gens de lettre", "gens d'Eglise".
-Quand "gens" désigne le personnel, domestiques ou partisans, toujours au masculin aussi.
ex: Les courageux gens du comte.
-Un adjectif non épithète se met toujours au masculin même quand il précède gens:
ex:"Heureux les gens qui savent se contenter de peu"
-deux adjectifs précèdent gens, le deuxième possédant un e muet au féminin comme au masculin, le premier se met au masculin:
ex: "Quels braves gens" "De faux braves gens"...

Bon plus ça va et plus je me dis que le plus simple serait d'écrire:
"les adjectifs de gens s'écrivent toujours au masculin, sauf s'il s'agit d'un adjectif épithète sans e muet et qu'il précède directement le mot "gens".


J'espère avoir aidé. Si quelqu'un a quelque chose à rajouter, allez-y

mercredi 29 mai 2013

L'Aube de la Guerrière



Titre : L'Aube de la Guerrière

Auteur : Vanessa Terral

Editeur : Edition du Chat noir

Nombre de pages : 280

Quatrième de couverture :
« Marre de jouer les éboueuses ! De ramper dans les divers infra-mondes à traquer les monstres les plus tordus de la Création. Et maintenant, on nous envoie sans équipier, direct au casse-pipes ! Trop de boulot, qu'ils disent. Trop de manifestations. Il paraît que c'est à cause de la fin du monde. Quel monde, déjà, je ne sais pas trop... Mais quelle fin en plus ? ! On a déjà eu droit à l'éclipse de 1999, au bug de l'an 2000, à l'ère du Verseau qui s'est glissé quelque part là-dedans et maintenant à décembre 2012 grâce à cette connerie de calendrier maya ! N'importe quoi...
Remarquez, je devrais quand même me méfier ; je suis bien placée pour savoir qu'en matière de légendes, il n'y a pas de fumée sans feu. La preuve : moi, ça fait trois semaines que je suis un ange guerrier. »
À peine décédée, Solange est envoyée à l'armurerie divine. Le Livre de saint Pierre a parlé : guerrière par prédisposition naturelle, mais ange sans grande valeur, elle ne sera d'aucune utilité dans la guerre qui oppose les siens aux démons. Autant l'utiliser près des Fosses, ces lieux dispersés dans les plans qui ont pour point commun d'abriter des Larves et autres créatures de cauchemar. Lesquelles ont une fâcheuse tendance à fuguer...
Un job qui n'a rien de bien intéressant — à part une meilleure connaissance des différents types d'effluves méphitiques — jusqu'à ce qu'elle découvre que les démons aussi envoient des guerriers dératiser les abords des Fosses. Dont Terrence et Aghilas... ce dernier possédant le même Don qu'elle, un pouvoir très rare visiblement : le Feu des Ténèbres.


A lire absolument si on aime :
-les anges pas trop angéliques
-les démons sexy
-des aventures palpitantes
A éviter si on cherche :
-un langage chaste
-les héroïne sans saveur

L'avis du critique :
Bien que la couverture ne me disait rien qui vaille, sans même connaître le synopsis, j'ai acheté ce livre les yeux fermés suite aux nombreuses critiques qui encensaient ce roman. Quelle déception quand je me suis rendu compte qu'il s'agissait d'une histoire d'anges et de démons (je ne suis pas très fan de ce genre de bit-lit). Quelle merveilleuse surprise quand j'ai découvert Solange l'ange (et ne riez pas, elle n'aimerait pas ça!). Un personnage tout en délicatesse? Non, un caractère bien trempé, à la langue acerbe, au passé tragique, au destin épique.
Solange, marquise des anges, merveilleuse Solange, indomptable Solange... J'exagère? Pas tant que ça, à part pour la marquise parce que tout compte fait, les anges elle n'aime pas ça, les anges ne sont pas ce qu'ils semble être et puis les démons sont tellement plus HOT.


Mais il n'y a pas que Solange, il y a toute l'intrigue autour d'elle, si bien ficelée que je défie quiconque de  découvrir le fin mot de l'histoire avant qu'on ne vous le dévoile.

Un autre point fort de ce roman: les dialogues! Combien de fois me suis-je bidonnée, esclaffée à lire des répliques qui deviendront cultes pour moi: "Pour te sortir une fille de la tête, il suffit de lui rentrer dans le cul!".... ce n'est pas magnifique? XD

Le seul hic de cette histoire, je pensais lire un one shot, et la dernière page indique clairement une suite. En fait ce n'est pas un hic, mais plutôt un soulagement. Je suis bien heureuse de pouvoir retrouver Solange, Aguilas, Terrence et les autres qui, j'en suis persuadée, me causeront encore des nuits blanches.

Le petit plus du livre :
une jeune néphilim au tournesol qui pourrait nous surprendre.

lundi 20 mai 2013

je tourne en rond

Bon c'est l'heure d'un petit bilan 


Alors pour la nouvelle "La Lune des Illusions", la V2 est bouclé mais les critiques fusent et je me vois déjà en faire 4 ou 5 versions différentes avant que les gens soient satisfaits du résultat.... trop dur
Ça va, je me plains mais la dead line n'est qu'en septembre alors j'ai le temps, en plus si j'arrive à éjecter 7000 signes je pourrais aussi la proposer à une autre AT qui, elle, porte exclusivement sur le western. Par contre j'ai peur de tomber trop dans le cliché pour cet appel...

Quant à "De l'Encre et des Feuilles", je stagne, je n'arrive pas à finir le premier jet, alors comment la faire corriger. En plus, même si je la finis avant la fin de la semaine, je ne suis pas là ce week-end et je ne trouverai peut-être personne de sérieux pour me faire une bêta rapide... ba oui, les grenouilles sont gentilles et tout et tout mais elles aussi ont une vie, et on ne peut pas leur demander de sacrifier leurs loisirs pour une grenouille à la bourre... (un jour j'expliquerai ce qu'est une grenouille, mais pour l'instant je vais vous laisser mijoter ^^ ). A oui, j'ai oublié de préciser que la dead line de l'AT en question est au 31 mai, voyez... je ne suis pas en avance! AT l'arbre (si vous voulez des infos)

J'ai abandonner le nano, "L'Ombre des Hommes" est en pause jusqu'en septembre. J'abandonne honteusement Yerhin, Jördig, Luste, Uht et les autres pour faire mes cartons, repeindre la maison, rendre les clés et m'envoler vers un paysage plus calme (jusqu'à ce que la nouvelle ligne de TGV arrive tout du moins). Une petite maison (mais plus grande que celle que j'habite actuellement) au milieu des champs. Alors pas de regret, je me rapproche un peu de Bordeaux, je m'éloigne encore de Chartres, et de Tours. Alors oui je me plains, mais pas pour longtemps. Une fois que le déménagement sera fait, je serais plus sereine, peut-être arriverai-je à finir mon livre et à en commencer un autre. Peut-être pourrai-je même faire le nano de novembre. Peut-être que je me concentrerai assez pour proposer une version potable de mon petit western. 

Enfin voilà, c'était le petit bilan de milieu d'année, pas beaucoup d'avancées, pas de grandes révélations, "en fait c'est juste un peu de bêtises"

dimanche 19 mai 2013

Delirium, la trilogie

Titre: Delirium
Auteur: Lauren Oliver
Éditeur: Black Moon
Nombre de pages: tome1: 451/ tome 2: 375/ tome 3: 414


Quatrième de couverture:
Tome 1:
Plus que trois moi, et je serai enfin protégée de l'amor deliria nervosa. Après le Protocole, je serai heureuse et en sécurité. Pour toujours. C'est ce que tout le monde dit. Et je l'ai toujours cru. Jusqu'à aujourd'hui.
Car aujourd'hui, tout a changé.
Aujourd'hui je préfère être contaminée par l'amour, quitte à perdre la raison et me mettre en danger. Plutôt braver l'interdit que continuer à vivre dans le mensonge.
Tome 2:
Lena a découvert avec Alex ce sentiment qu'est l'amour. Ensemble ils se sont enfuis, déterminé à gagner la Nature pour vivre leur passion. Mais seule Lena est parvenue à franchir la frontière. Sans savoir si Alex est encore vivant.Aujourd'hui Lena a rejoint la résistance. Elle se voit confier une mission qui pourrait bien lui coûter la vie. Quand une nouvelle rencontre remet en question tous ses principes. Se battre pour avoir le droit d'aimer: cela a-t-il vraiment un sens?Imaginez qu'on vous prive de tout sentiment. Sua la liberté ne soit plus qu'un vieux souvenir dénué de sens. Jusqu'où iriez-vous pour garder le droit d'aimer?

Tome 3:

Alex est revenu. Le premier amour de Lena n'est pas mort. Mais il a changé. Les mois de torture, la lutte de chaque jour dans une nature hostile, la menace qui pèse sur la résistance plus grande que jamais: Alex n'est plus le même. Hana non plus. Hana qui a été opérée. Hana qui va se marier. Hana qui doute.


Mon avis:

Le tome 1 m'avait transporté, fasciné. Avec simplicité, en prenant des ingrédients simples je redécouvrais le roman d'anticipation que j'avais délaissé depuis longtemps. Oui, le premier tome m'avait vraiment plut.

Malheureusement plus les tomes ont avancé, plus je me suis lassée. Le livre 2 était pour moi qu'un remake du 1, seulement les rôles étaient inversés. Lena devenait la tentatrice (prenant la place d'Alex). Heureusement les trois dernières lignes du roman ont réussit à me mettre l'eau à la bouche, à hurler contre l'auteur et à attendre fiévreusement le tome 3.

Mais voilà, comme pour le 2, le 3 ne réussit pas à me satisfaire. Quelle facilité de tomber dans le triangle amoureux, quelle non surprise de découvrir vers qui vont les véritables sentiments de Lena. Et malgré une tentative de l'auteur de faire évoluer ses personnages, ils n'ont, pour moi, pas beaucoup bougé de la case départ. Oh bien sûr ils disent souvent: "Tu as changé", "J'ai grandit", "Je ne suis plus le-même", il ne suffit pas de le dire pour que ça soit vrai, et à force de l'entendre j'en ai fini par en douter. Preuve en est: le choix de Lena, quoi qu'elle dise, si elle avait vraiment changé, serait-elle encore amoureuse du même garçon? (oui, je sais c'est possible, mais bon)

Par contre, un nouveau personnage m'a beaucoup plus: Fred le futur mari de Hana. Quel sadique ce mec!! Un ogre réincarné, il se compare même à Barbe-Bleue c'est dire. Il y a beaucoup de chose à dire sur lui, beaucoup plus que sur Alex ou Lena.

Par contre, comme à chaque fois, les dernières lignes de ce dernier tome relève de la magie. Une fin qui laisse le champs libre à nos envies, à la vie.

Conclusion, une trilogie qui s'essouffle malgré de bonnes idées. Par contre un auteur qui manie le teasing avec brio, du coup, même si vous n'êtes pas convaincus vous aurez envie de connaître la suite...

À lire absolument si on aime :
*les sentiments
*un futur contrôlé
*la résistance dans tous ses aspects

À éviter si on cherche :
*une intrigue complexe
*une évolution marquée des personnages

Le petit plus du livre :
Les scènes de la Bible réécrite par la société et le parallèle mis en évidence dans l'histoire. Notamment la légende de Salomon et de Magdalena.

La chambre